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Etienne Feildel rejoint le cabinet Bruzzo Dubucq

Écrit par Cédric Dubucq
Publié le 01/09/2021
3 minutes
Nous avons le plaisir d’annoncer qu’Etienne FEILDEL rejoint les rangs du cabinet. Etienne FEILDEL interviendra en contentieux commercial et restructuring. Il s’est prêté à notre classique jeu des questions-réponses.

BD : Très cher Etienne, comment s’est déroulée ton installation dans notre belle ville d’Aix en Provence ?

EF : Excellente ! Arrivé en septembre depuis le grand nord (Nantes), je goûte un peu plus chaque jour au cadre idyllique de cette ville, ses fontaines, ses marchés au parfum de lavande, et de ses paysages alentours magnifiques… Mais surtout j’ai eu la chance d’être magnifiquement accueilli par les gens ici, et en particulier par tous les membres de la BD family avec lesquels c’est un plaisir de travailler tous les jours !

 

BD : En tant que rugbyman averti (seconde ligne pour les curieux), quel lien fais tu entre le combat judiciaire et le terrain ?

EF : A mon sens, le rugby et le contentieux judiciaire se rejoignent, dans le sens où dans les deux cas, il faut se battre jusqu’au bout, dans le strict respect des règles, et surtout en mettant ses atouts au service du collectif (même si heureusement, le risque de luxation est moins élevé dans les prétoires !)

 

BD : Et en tant que pianiste, quel serait le lien que tu effectuerais entre l’éloquence et le clavecin ?

EF : Comme pour la musique, je crois que l’éloquence n’a pas qu’une simple vocation informative : le discours juridique a pour but de convaincre, d’émouvoir, et donc de plaire (le mot « plaidoirie » tire d’ailleurs son origine du verbe plaire) : au fond, l’esthétique d’un air de piano n’est pas si éloignée de celle d’un bon discours !

 

BD : Plus terre à terre, quels sont tes objectifs au sein du cabinet ?

EF : Mettre mes compétences au service des clients et de l’équipe pour contribuer au développement du cabinet, et bien sûr participer à des projets innovants et stimulants : les défis ne manquent pas !

 

BD : Qu’est ce qui te parait le plus improbable au sein de notre équipe (en fonction de la réponse, cette page s’autodétruira?

EF : La jeunesse de la moyenne d’âge, la liberté d’esprit, le fourmillement d’idées innovantes, les cravates de David : pour moi, le cabinet sort de tous les cadres établis, et c’est précisément ce qui fait sa force, et qui donne envie de venir travailler tous les matins !

 

BD : Dernière question fun, que penses tu de l’ordonnance COVID qui élargit l’article 642-3 du code de commerce et permet aux dirigeants de reprendre leurs actifs après une défaillance ?

EF : Au risque de susciter la polémique, je pense que cette disposition est une bonne chose et qu’elle devrait inscrite dans le droit commun : à mon sens, le filtre nécessaire de la requête du Ministère public pour qu’un dirigeant puisse déposer une offre de reprise sur les actifs de son entreprise me paraît aberrant, dans la mesure où seul le Tribunal devrait être souverain pour apprécier la pertinence d’une telle offre, au regard notamment des enjeux sociaux, étant précisé que le Ministère public est présent lors des débats et que son appel est suspensif. En revanche, si le dirigeant doit pouvoir être admis à déposer une offre, les tribunaux doivent être vigilants et n’admettre de telles cessions à « soi mêmes » qu’aux seuls dirigeants « méritants », pour éviter tout effet d’aubaine.

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